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La police municipale de Beaucaire efficace et réactive. Quid de la justice ?

Ce mercredi 9 janvier vers 8h30, deux élèves du lycée professionnel Paul Langevin et de Saint Félix d’Alzon ont été menacés par un individu armé d’une lame (sans que les élèves ne soient blessés).
Dans les dix minutes qui ont suivi, la police municipale, prévenue, est intervenue et a procédé à l’interpellation de l’individu. Cette interpellation a été particulièrement mouvementée, une policière ayant été blessée et les policiers municipaux clairement menacés de mort et de représailles.
Lors de cette interpellation, les policiers ont découvert sur cet individu mineur habitant le centre-ville de Beaucaire et déjà très défavorablement connu des services de police une quantité importante de cannabis conditionné en sachets.

Plusieurs dépôts de plainte sont en cours.

Le Maire de Beaucaire et son adjoint à la sécurité tiennent à saluer la réactivité du service de vidéo protection qui a permis de localiser le suspect formellement identifié et la réactivité de la police municipale qui a procédé très rapidement à son interpellation.
La clémence régulière de certains magistrats vis à vis de ce type de délinquants multirécidivistes révolte élus et policiers.
Le Maire de Beaucaire tiendra les Beaucairois informés des suites qui seront données par la justice à cette affaire pour laquelle la protection fonctionnelle sera accordée par le Maire à ses policiers.

Justice : La Ville fait condamner définitivement l’ancien directeur de la publication de « Midi Libre »

Régulièrement, les adversaires de la municipalité lui reprochent d’être procédurière et de faire valoir ses droits.
Comme si l’on reprochait à la victime d’un délit (vol…) ou d’un crime (viol…) de déposer plainte et de demander réparation ?
Victime d’une mise en cause injustifiée (comme souvent) dans un article de « Midi Libre » du 14 novembre 2014 sans avoir eu la possibilité d’y répondre, la municipalité avait d’abord choisi d’adresser un droit de réponse à ce quotidien en situation de monopole.
Le directeur de la publication de l’époque avait alors refusé de diffuser le droit de réponse de la municipalité qui remplissait pourtant tous les critères objectifs pour ce faire.
Condamné en première instance, le directeur de la publication de « Midi Libre » de l’époque avait interjeté appel mais avait dû publier le droit de réponse (près d’un an après la diffusion de l’article incriminé).
Condamné plus lourdement en appel, il avait formé un pourvoi en cassation.
La Cour de Cassation vient il y a quelques jours de confirmer définitivement la condamnation de l’ex directeur de la publication de « Midi Libre » qui est ainsi condamné à rembourser 4500 euros de frais de justice à la Ville de Beaucaire.
Il est également condamné à verser 1 euro de dommages et intérêts au Maire de Beaucaire qui, ne souhaitant pas s’enrichir mais simplement obtenir justice par principe, n’avait demandé que cette somme symbolique étant donné qu’il s’agissait d’un premier procès.
La Ville de Beaucaire se félicite de cette condamnation définitive dans cette affaire et appelle « Midi Libre » à traiter Beaucaire et le Maire que lui ont choisi les électeurs de manière plus objective à l’avenir.
« Midi Libre » n’est pas au-dessus des lois.
Nous ne laisserons plus rien passer dans ce domaine et demanderons systématiquement réparation en cas de non diffusion de nos droits de réponse. En cas de récidive, le Maire de Beaucaire demandera cette fois des dommages et intérêts plus conséquents car il lui est insupportable de devoir perdre du temps et de devoir engorger nos tribunaux (déjà très sollicités) avec ce type d’affaires.
À bon entendeur…

Beaucaire : L’opposition hystérique (élus et public) perturbe le bon déroulement du Conseil Municipal

Ce mardi 14 mars au soir se tenait à Beaucaire un Conseil Municipal pour l’approbation du compte administratif et le vote du budget primitif de la Ville, moment important dans la gestion d’une collectivité.

Agacé par les bons résultats budgétaires de la municipalité, dépité de ne pas avoir d’argument valable à opposer à Julien Sanchez, et n’ayant toujours pas accepté de ne pas avoir été élu Maire de Beaucaire en 2014, M. Christophe André (élu d’opposition des Républicains) a d’abord diffamé publiquement et de manière réitérée le Maire de Beaucaire pendant la séance avant d’injurier des employés municipaux (et notamment une jeune femme de 24 ans) à l’occasion d’une suspension de séance, les traitant de « larbins » devant témoins, refusant ensuite de s’excuser envers eux suite à la demande du Maire à la reprise de la séance.

M. Christophe André a également à plusieurs reprises tenté d’entraver le bon déroulement du Conseil Municipal (organe délibérant) en se mettant debout en dehors de sa place dans l’assemblée à plusieurs reprises pour y intervenir, en déplaçant du matériel municipal et en se rapprochant de la tribune où se tenait le Maire en tentant de couvrir la voix du Président de l’assemblée à de nombreuses reprises.

Par son attitude provocatrice, hystérique, irrespectueuse et infantile, M. Christophe André a contribué à créer un climat délétère et contribué à favoriser un trouble à l’ordre public, plusieurs membres du public (politisés) intervenant oralement et commentant les débats à voix haute, ce qui est interdit, seuls les élus (de la majorité et de l’opposition) devant pouvoir s’exprimer dans un Conseil Municipal qui est une institution républicaine.

Après avoir tenté pendant la suspension de séance de dialoguer avec plusieurs membres de l’opposition et même avec M. Christophe André, et voyant que celui-ci et que les personnes du public concernées persistaient à refuser de respecter la bonne tenue des débats, Monsieur le Maire a informé des faits Monsieur le Préfet du Gard.
À la reprise de la séance, conformément au code général des collectivités territoriales, 3 élus en plus du Maire ont demandé à ce que le Conseil se tienne à huis clos, un vote à la majorité confirmant ce choix.

Plusieurs membres du public (politisés) refusant de quitter les lieux malgré le huis clos, de même que la presse locale, le Maire a dû suspendre à nouveau la séance et requérir l’intervention de la force publique.

La police nationale est alors intervenue pour faire respecter le huis clos décidé conformément aux textes par la majorité absolue du Conseil Municipal (en vertu du code général des collectivités territoriales).

Le Conseil Municipal a pu se poursuivre en présence des élus de la majorité et de plusieurs élus d’opposition restés jusqu’au bout du Conseil par respect des institutions et du mandat qui leur a été confié par les électeurs, plus intéressés par les débats pour leur Ville que par la politique politicienne et la basse tentative de destabilisation du Conseil Municipal.

M. Christophe André n’en étant pas à son coup d’essai, et celui-ci ayant refusé de s’excuser, la Ville de Beaucaire déposera dans les prochaines heures plusieurs plaintes à l’encontre de celui-ci pour son attitude d’obstruction ayant généré des troubles et une entrave à la bonne tenue des débats d’une institution républicaine (en mobilisant qui plus est des effectifs de police nationale qui ont mieux à faire), mais aussi pour diffamation à l’encontre du Maire dans l’exercice de ses fonctions.

Il est détestable que des élus et des citoyens majeurs puissent agir de la sorte. Cela ne grandit pas la politique.
Ces attitudes n’empêcheront pas les élus de la majorité municipale d’avancer pour le développement de Beaucaire et l’intérêt général de la Ville auxquels ils travaillent 365 jours par an.

Discrimination : Paniquée par les éléments accablants apportés par la Ville de Beaucaire, Carole Delga demande un report d’audience

En avril dernier, la Ville de Beaucaire déposait une plainte à l’encontre de Carole Delga pour discrimination envers la commune à raison des idées politiques de son Maire.

Face à un dossier accablant présenté par l’avocat de la Ville de Beaucaire, le conseil de Carole Delga a demandé et obtenu le report de l’audience prévue aujourd’hui mardi 28 février au Tribunal Correctionnel de Nîmes au 3 octobre 2017.

Cette demande de report pour gagner du temps, alors que la présidente du conseil régional d’Occitanie a déjà eu 10 mois pour préparer sa défense, prouve que l’élue n’est pas sereine. Et pour cause : les éléments apportés par la commune démontrent clairement la discrimination dont Beaucaire est victime.

Le Maire de Beaucaire, qui ne s’étonne même plus de l’absence de Carole Delga à l’audience, montrant là son mépris pour l’institution judiciaire, est déterminé à aller jusqu’au bout de cette procédure et rappelle que la discrimination est un délit passible d’une peine d’emprisonnement de 3 ans et de 45.000 euros d’amende pour les personnes physiques et qu’elle est plus sévèrement sanctionnée quand elle est commise par une personne dépositaire de l’autorité publique ou chargée d’une mission de service public (peine d’emprisonnement de 5 ans et 75.000 euros d’amende).