LES TRADITIONS CHEVILLÉES AU CORPS !
Beaucaire est une ville à l’identité forte. Son riche patrimoine architectural n’y est pas pour rien. La place qu’occupent ici les traditions non plus. Depuis son élection en 2014, Julien Sanchez n’a de cesse de valoriser, mettre en avant et défendre les traditions. Qu’elles soient locales, comme les courses camarguaises et nos autres événements taurins, ou qu’elles soient françaises comme Noël.
Crèche de Noël : Beaucaire résiste !
Chaque année depuis 2014, Beaucaire célèbre Noël comme il se doit. Dès 2014, le maire Julien Sanchez et son adjointe aux festivités, Mireille Fougasse, ont souhaité donner un nouvel élan au marché de Noël. Ce qui n’était qu’un petit évènement en perte de vitesse est devenu très rapidement un incontournable (et même une référence) dans le département. Le marché de Noël avec ses nombreux exposants sur le cours Gambetta, la grande ferme aux animaux sur la place Clemenceau, les nombreuses animations musicales et récréatives pour les enfants et l’incontournable maison du Père Noël sont désormais ancrés et sont très attendus chaque année. Beaucaire célèbre aussi Noël avec l’installation, chaque année depuis 2014, d’une exposition culturelle, artistique et festive de la crèche provençale. Santons et autres décors d’antan font ainsi déplacer des milliers de visiteurs dans la cour de l’Hôtel de Ville. Mais chaque année, Julien Sanchez est persécuté judiciairement par des personnes dont le seul objectif semble la déconstruction de ce qui fait la France. Le premier magistrat de la ville résiste et défend chaque année Beaucaire au tribunal. Plus d’une dizaine de procédures ont été intentées sur ce sujet depuis 2014.
Les traditions attaquées !
Les traditions taurines elles aussi sont régulièrement attaquées (hausse des assurances pour les manadiers, demande de réduction des jours de fêtes votives, attaques envers les traditions et la ruralité en général, envers le monde taurin en particulier). À Beaucaire, où les traditions taurines sont dans l’ADN de la ville, il n’est pas question d’y toucher. Il est même question de les promouvoir. C’est ainsi que depuis 2014, le nombre de manifestations de taureaux dans les rues a considérablement augmenté. Parallèlement, le maire a souhaité donner une autre dimension aux courses camarguaises, qui, depuis, sont systématiquement précédées d’une capelado (un défilé mettant en scène nos belles Arlésiennes), souvent agrémentées de chevaux de race Camargue.
DÉFENDRE LES TRADITIONS FRANÇAISES,
PROVENÇALES ET CAMARGUAISES